Le rap burkinabè : exploitation des textes de l’oralité et de l’image dans l’enseignement

Auteurs

DOI :

https://doi.org/10.56592/flj.v1i28.820

Mots-clés :

rap burkinabè, littérarité, ancrage culturel, enseignement

Résumé

Au vu de l’évolution du monde, et partant, de plusieurs domaines d’activités, nous estimons que l’enseignent de la littérature francophone et de la langue française (à l’école, au collège, au lycée, à l’université) dans les pays d’Afrique subsaharienne doit connaitre, à l’image de certains pays développés, un aggiornamento, en s’étendant à d’autres domaines artistiques. Au nombre de ceux-ci, l’on peut citer globalement les chansons, et précisément le rap. En la matière, l’exemple du rap burkinabè nous parait efficient : littérarité des textes et ancrage culturel important (langues africaines, oralité africaine, etc.).  En quoi l’implication des chansons de rap (textes, oralité, images) s’avère opportun dans l’enseignement ? Pour y répondre, il s’est agi d’examiner a priori six textes (transcrits) de rappeur burkinabè à l’aune de la théorie de l’équivalence (parallélisme) de roman Jakobson afin de mettre à nu la poéticité desdits textes. Partant de là, l’on se rend compte de l’intérêt de l’intégration des chansons dans l’enseignement du français ainsi que pour les littératures nationales, ce qui nous permet d’en suggérer le « comment enseigner ou étudier » les chansons et plus précisément celles du rap. En tout état de cause, cette étude frise l’éducation musicale (Jonathan Bolduc).

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Publiée

2023-12-15

Comment citer

Désiré GARBA, W. . (2023). Le rap burkinabè : exploitation des textes de l’oralité et de l’image dans l’enseignement. Journal De La Faculté Des Langues-Tripoli-Libye, 1(28), 268–250. https://doi.org/10.56592/flj.v1i28.820
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